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La protection sociale, depuis plus de 75 ans, protège contre les aléas de la vie : maladie ou invalidité, handicap ou perte d’emploi. Elle garantit à toutes et tous des soins de santé accessibles et de qualité, ainsi qu’une pension digne.

Ces cinq dernières années, les socialistes ont poursuivi les conquêtes : hausse de la pension minimum, relèvement des plus basses allocations, refinancement de la santé, suppression du « prix de l’amour », et bien d’autres avancées encore.

Ce rôle doit être affirmé. Et prolongé. Certaines catégories ne sont pas suffisamment soutenues aujourd’hui.

On pense aux jeunes, entre la fin de la scolarité et le début de la vie professionnelle. Les socialistes veulent un revenu de base jeunes, qui permette aux 18-25 ans qui n’habitent plus le domicile familial et qui ne bénéficient pas des dispositifs existants de percevoir une allocation spécifique de sécurité sociale d’un montant forfaitaire.

On pense aux parents isolés, très exposés au risque de pauvreté. Les socialistes veulent faciliter l’accès aux aides existantes et mettre en œuvre de nouveaux soutiens, notamment par le développement des points relais spécifiques qui accompagnent les familles monoparentales.

On pense aux couples dont l’un des membres se trouve en difficulté et ne bénéficie que d’une protection partielle. Les socialistes veulent mettre fin au statut de cohabitant, en portant progressivement le montant de toutes les allocations accordées aux cohabitants au niveau des allocations accordées aux personnes isolées.

On pense aux personnes ayant un emploi précaire ou un temps partiel subi. Les socialistes préconisent une garantie de revenu pour les aider à vivre dignement.

On pense aux personnes qui ont travaillé toute leur vie. Les socialistes ne cèdent rien sur ses exigences de pensions dignes et veut réformer les conditions de départ à la pension anticipée, avec une possibilité de départ à 60 ans après 42 années de carrière et après 40 années de carrière pour les personnes ayant exercé un métier pénible.

On pense aux personnes sans emploi. Les socialistes veulent leur garantir un revenu gage de dignité, équivalent à 110% du seuil de pauvreté pour les allocations sociales.

On pense aux personnes en situation de handicap. Les socialistes veulent des services de prise en charge individualisée ou collective, adaptés à leur situation, et veulent l’accessibilité universelle des services publics et des transports en commun.

On pense aux aînés. Les socialistes veulent renforcer le soutien à domicile en rendant les services d’aide aux familles et aux aînés plus accessibles. Les socialistes veulent également des maisons de repos financièrement abordables, par l’instauration d’une facture maximale.

Les socialistes continueront à se battre pour des droits universels, pour que nul ne soit condamné à la précarité et à la débrouille. Pour que chacun puisse s’en sortir et trouver sa place dans la société. Pour que toute personne, en couple ou non, bénéficie de droits pleins et entiers

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